quinta-feira, 24 de agosto de 2017

"L'irréversibilité du temps" (...) 395


La vie que nous vivons est objective parce que cela signifie une réalité (...), une personne imposée A, B ou C, dans laquelle nous formons l'humanité.

Parce que la vie est implicite dans l'humanité, dans le but qu'elle veut atteindre, c'est-à-dire attribuer à chaque personne, comme existence physique, un corps de matière.

Conditionné à une certaine "durée de vie" en raison de sa longévité qui va dans une durée de vie plus longue ou non.

C'est une perception "vraie" parce que la vie (...) existe en fait, surtout par ses signes vitaux.

Cependant, il a un principe, comme la conception de «quelqu'un» et sa fin, qui s'éteint comme matière, parce qu'elle cesse de vivre.

En fait, c'est dans cette existence physique, revêtu d'un corps matériel que les hommes et les femmes expriment leurs identités.

En disant qu'ils sont, ils travaillent, ils ont des prétentions, des aspirations et des désirs, mais ils ont aussi des frustrations, des déceptions, des déceptions, causés par le sentiment de dégoût ou de désillusion.

Ainsi, la précarité de la vie matérielle que nous vivons est visible, car on ne «vit pas toujours».

La condition de vie imposée est cet espace mondial actuel où l'on est inséré lié à une certaine "durée de vie".

En effet, le «temps de vie» est la ressemblance d'une durée de vie matérielle matérielle, dont «l'un» vit comme une existence physique, dans un corps de matière périssable.

En fait, cette condition est subordonnée à l'espèce humaine qui consiste à vivre une «vie matérielle».

Caractérisé dans sa généralité dans laquelle toutes les personnes sont soumises, c'est une conséquence irréversible.

En conséquence, et en suivant notre discours sur le sujet de «l'irréversibilité du temps», nous laissons d'autres considérations. António Cardoso

Sem comentários:

Enviar um comentário